Pourquoi les grandes maisons ?
Apprendre l’excellence avant un premier poste de chef : la démarche fait sens, non ? D’autant que je m’étais astreint à régulièrement changer de pays et d’établissement pour m’enrichir encore davantage. Ainsi, aux Crayères de Reims, je découvrais les bases de la haute gastronomie française puis, chez Michel Bras, à Laguiole, les prémices d’une cuisine plus immédiate, de la terre à l’assiette. En Norvège, du fait de saisonnalités très courtes, au Bagatelle comme à Re-Naa, je me familiarisais cette fois avec toutes les techniques de conservation. À Hong Kong ensuite, au sein du Four Seasons Hotel, j’apprenais à manager une équipe de 15 à 20 personnes, tout en découvrant les produits asiatiques. À Shanghai enfin, après l’ouverture du restaurant de Joël Robuchon, je prenais mon premier poste de chef, dans un hôtel intimiste de 19 chambres, la tête à tout, des fourneaux à la salle, de la carte des vins aux comptes d’exploitation… J’étais alors prêt à revenir en France, à Val Thorens.
Apprendre l’excellence avant un premier poste de chef : la démarche fait sens, non ? D’autant que je m’étais astreint à régulièrement changer de pays et d’établissement pour m’enrichir encore davantage. Ainsi, aux Crayères de Reims, je découvrais les bases de la haute gastronomie française puis, chez Michel Bras, à Laguiole, les prémices d’une cuisine plus immédiate, de la terre à l’assiette. En Norvège, du fait de saisonnalités très courtes, au Bagatelle comme à Re-Naa, je me familiarisais cette fois avec toutes les techniques de conservation. À Hong Kong ensuite, au sein du Four Seasons Hotel, j’apprenais à manager une équipe de 15 à 20 personnes, tout en découvrant les produits asiatiques. À Shanghai enfin, après l’ouverture du restaurant de Joël Robuchon, je prenais mon premier poste de chef, dans un hôtel intimiste de 19 chambres, la tête à tout, des fourneaux à la salle, de la carte des vins aux comptes d’exploitation… J’étais alors prêt à revenir en France, à Val Thorens.