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Sous vos yeux, dans les trois restaurants immaculés du Petunia, teintés çà et là des touches colorées d’un mural, d’une banquette, d’une suspension de verre soufflé…, la mer des Baléares, la piscine, le potager et des assiettes locales. Ciselées à La Mesa d’Es Vedrà, sans façons à Los Olivos et marines à La Mirada.
Sous vos yeux, dans les trois restaurants immaculés du Petunia, teintés çà et là des touches colorées d’un mural, d’une banquette, d’une suspension de verre soufflé…, la mer des Baléares, la piscine, le potager et des assiettes locales. Ciselées à La Mesa d’Es Vedrà, sans façons à Los Olivos et marines à La Mirada.
La piscine azur, en bout de table, et le fameux rocher, au loin, plantent le décor. À vous les saveurs des Baléares, en deux façons. D’abord, un buffet, au petit-déjeuner ; puis, une cuisine aussi sincère qu’ancrée, au dîner, à l’image d’une crème d’amandes, crevettes, raisins et caviar ; d’une paëlla de poulpe, émulsion de piment des Baléares et salicornes ou d’un bar des environs cuit en croûte de sel… Ou comment savourer la région sans bouger.
Aux heures chaudes, ses envies de dînette. Ainsi va cette salle grande ouverte, où déjeuner d’assiettes locales et variées, des croquetas du jour à la salade de fruits et sorbet de citron, en passant par un gaspacho, une assiette de jambon iberico, des bocadillos, des patatas fritas… Parfait entre deux longueurs à la piscine voisine ou pour un après-midi de farniente.
À la carte de ce rooftop du soir, des huîtres au naturel, une salade de tomates du potager, un tataki de wagyu au vinaigre de prune, un tiradito de calamar ou un tartare de ventrêche de thon au jambon ibérique et caviar. Autant de préparations crues et voyageuses qu’accompagnent des cocktails sur-mesure, les musiques lounge des sets de dj et des couchers de soleil sur Es Vedrà à tomber.
« À mes yeux, la voie à suivre est là : dans le mariage réussi des traditions et de l’innovation, à l’aune des beaux produits de nos îles, toujours. »
Baltasar Rigo en sait quelque chose… Lui, le fils de restaurateurs majorquins, passé, entre autres, par les cuisines d’Albert Adrià, a tiré de ses expériences passées un enseignement majeur : « Pas d’avant-garde, sans patrimoine ».
« À mes yeux, la voie à suivre est là : dans le mariage réussi des traditions et de l’innovation, à l’aune des beaux produits de nos îles, toujours. »
Baltasar Rigo en sait quelque chose… Lui, le fils de restaurateurs majorquins, passé, entre autres, par les cuisines d’Albert Adrià, a tiré de ses expériences passées un enseignement majeur : « Pas d’avant-garde, sans patrimoine ».
