INSPIRATIONS
Mon inspiration vient de l’avenir de notre planète. En tant que chefs, nous avons le pouvoir d’influencer l’évolution de la gastronomie, et cette responsabilité est au cœur de ma démarche. Mon engagement pour la cuisine végétale repose sur trois piliers : la santé, l’éthique et la durabilité.
D’un point de vue santé, une consommation excessive de viande n’est pas idéale. Le corps peine à la digérer efficacement, mobilisant une énergie précieuse qui pourrait être mieux utilisée pour la récupération, la vitalité et le bien-être général.
Sur le plan éthique, l’élevage industriel de masse est un système profondément défaillant. Les animaux y sont traités comme de simples chiffres, vivant dans des conditions éprouvantes. Il y a une différence fondamentale entre se procurer de la viande de manière respectueuse et durable et le modèle industriel actuel, qui génère des souffrances inutiles et a un impact négatif sur l’environnement et les communautés. Cette souffrance laisse une empreinte qui dépasse largement le cadre de l’assiette.
Enfin, en matière de durabilité, l’élevage animal nécessite des surfaces agricoles considérables, non seulement pour le bétail lui-même, mais aussi pour la production des céréales qui l’alimentent, contribuant ainsi à la déforestation et à la dégradation des écosystèmes. Cela dit, je ne considère pas le tofu ou le soja comme une solution miracle, car leur culture est également très gourmande en terres. Je prône plutôt une approche équilibrée et raisonnée de l’alimentation, qui respecte autant la planète que notre santé.
Mon inspiration vient de l’avenir de notre planète. En tant que chefs, nous avons le pouvoir d’influencer l’évolution de la gastronomie, et cette responsabilité est au cœur de ma démarche. Mon engagement pour la cuisine végétale repose sur trois piliers : la santé, l’éthique et la durabilité.
D’un point de vue santé, une consommation excessive de viande n’est pas idéale. Le corps peine à la digérer efficacement, mobilisant une énergie précieuse qui pourrait être mieux utilisée pour la récupération, la vitalité et le bien-être général.
Sur le plan éthique, l’élevage industriel de masse est un système profondément défaillant. Les animaux y sont traités comme de simples chiffres, vivant dans des conditions éprouvantes. Il y a une différence fondamentale entre se procurer de la viande de manière respectueuse et durable et le modèle industriel actuel, qui génère des souffrances inutiles et a un impact négatif sur l’environnement et les communautés. Cette souffrance laisse une empreinte qui dépasse largement le cadre de l’assiette.
Enfin, en matière de durabilité, l’élevage animal nécessite des surfaces agricoles considérables, non seulement pour le bétail lui-même, mais aussi pour la production des céréales qui l’alimentent, contribuant ainsi à la déforestation et à la dégradation des écosystèmes. Cela dit, je ne considère pas le tofu ou le soja comme une solution miracle, car leur culture est également très gourmande en terres. Je prône plutôt une approche équilibrée et raisonnée de l’alimentation, qui respecte autant la planète que notre santé.